Nord 1203 VI Norécrin

France Avion de tourisme

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  Norecrin 2

 

 

L'appareil du CAEA
Notre Norécrin, le n° 368, est construit en 1958 et portera jusqu'en 1966 l'immatriculation F-BGFM, le propriétaire étant la SFATAT, basé à Chambéry Challes Les Eaux.
L'appareil partira ensuite au Luxembourg sous l'immatriculation LX-GFM jusqu'en 1983 avant de revenir en France sous l'immatriculation F-BIFU.
Il volera alors pour "l'Association Promenade Aérienne", basée à la Ferté Alais, jusqu'en 1995 où un particulier le racheta pour restauration avant de nous le confier.

Visible démonté dans le hangar

 

- Historique et description


Le développement du Norécrin a commencé en 1943 dans le cadre du programme d'avion civil lancé par le Comité d'organisation de l'Industrie Aéronautique du Ministère de l'air dont le but était d'encourager l'étude d'un biplace de tourisme Le projet trouve ses origines dans le N.1101 Noralpha, lui-même dérivé du N.1000 qui est en fait le Messerschmitt Bf.108 produit par la Société Nationale des Constructions Aéronautiques du Nord pendant la 2ème GM.
La première version du Norécrin est le N.1200, biplace côte à côte avec bagages ou troisième place passager, à aile basse, de structure et revêtement entièrement métalliques sauf pour les parties mobiles entoilées, à train rentrant, propulsé par un Renault 4Pei de 140 CV. Cette conception marque une rupture avec la tradition des avions de ce type qui étaient à aile haute, train fixe, structure bois et toile. Il effectue son 1er vol le 15 décembre 1945 aux Mureaux, piloté par Georges Détré.
Au printemps 1946 le Norécrin remporte le concours organisé par le Ministère de l'Air pour désigner le meilleur avion de tourisme du moment, de ce fait il reçoit l'approbation officielle d'être produit en grande série.
L'appareil de série, renommé N.1201, comporte trois places et un compartiment à bagages. Il bénéficie d'améliorations du confort et aérodynamiques.
La version suivante, N.1202, est une amélioration du N.1201, tant pour l'aménagement de la cabine que pour l'aérodynamique. Le moteur est remplacé par un Potez 4D OI de 160 CV, l'hélice est une Levasseur.
Le N.1203 est équipé d'un moteur Régnier 4LO de 147 CV. Par rapport au N.1201 il bénéficie de quatre places, d'un nouvel atterrisseur, de capots moteur redessinés, et d'une hélice Chauvière en bois.
Enfin le N.1204 est une version du N.1201 à moteur Continental 125C de 125 CV avec une hélice Aéromatic.
Il remporte en 1948 la coupe de vitesse de Deauville et le concours d'élégance; Par la suite il a établi plusieurs records de vitesse internationaux dans sa catégorie.
Il fut produit en tout à 378 exemplaires, sous 10 versions différentes, exporté dans 25 pays.
En Argentine la Prefectura General Marítima Argentina a utilisé trois Norécrin pour la liaison et la surveillance fluviale et côtière de 1955 à 1961.
En 1948, deux Norécrin II ont été donnés à l'Israeli Air Force par une famille française, pour l'évacuation sanitaire. Ils n'y ont servi que peu de temps pour des missions de liaison et d'entraînement avant d'être reversés dans le civil.

Caractéristiques
Envergure 10,22 m 3 vues
Longueur 7,22 m
Hauteur 2,76 m
Surface alaire 13 m2
Masse à vide 652 kg
Masse max. 1050 kg
Nombre de places 1 + 3
Vitesse max. 280 km/h
Vitesse de croisière 220 km/h
Plafond d'utilisation 5 000 m
Rayon d'action 900 km
Distance de décollage 250 m
Vitesse ascensionnelle 5 m/sec
Vitesse d'atterrissage 85/90 km/h
Moteur 1 SNECMA Régnier 4L14 de 105 kW

 

 


   - Sources documentaires

Jane's All the aircraft, 1950-51.

Henri Mignet HM.14 Pou du ciel

France  Monomoteur 2 axes de construction amateur

   - Historique


Vers 1920, Henri Mignet s'est fixé l'objectif de proposer un appareil facile à construire et à piloter, et le plus économique possible, le coût de l'avion serait de six mille francs, l'heure de vol ne coûterait qu'une cinquantaine de francs (ce qui actualisé en valeur 2003 représente 3.600 et 30 euros). Il réalisa plusieurs machines avant d'arriver au HM.13, premier avion de " formule Mignet ", c'est à dire deux plans décalés horizontalement, l'aile arrière est fixe tandis que l'aile avant, disposée plus haut, est à incidence variable et assure donc le contrôle du tangage.
Mais c'est le HM.14 Pou-du-Ciel qui donna ses heures de gloire à la formule. Le premier vol eut lieu en septembre 1933, propulsé par un moteur Aubier-Dunne de 17 cv.
Mignet écrivit le manuel de construction de cet avion en bois, et le mit à la disposition des constructeurs amateurs, c'est ainsi qu'en 1935 une centaine de HM.14 volaient. La même année Henri Mignet fonda la Société des Aéronefs Mignet. Malheureusement de nombreux accidents eurent pour conséquence l'interdiction de vol du HM.14, la guerre approchant ce fut un coup d'arrêt à la construction amateur en France.
Malgré tout Mignet continua, jusqu'à sa mort en 1965, à concevoir des avions basés sur la formule et en l'améliorant. La société Mignet Aviation à Royan, a continué à fabriquer des ULM reprenant la "formule Mignet".

Le Pou du ciel au HM2
Caractéristiques
Envergure 6 m
Longueur 3,50 m
Surface alaire 9 m2
Masse à vide 200 kg
Vitesse max. 120 km/h
Plafond d'utilisation environs 3000 m
Autonomie environ 3 heures
Moteur 1 Aubier-Dunne 540, 2 cylindres, de 20 cv

 

L'appareil du CAEA
numéro de sérieLe Pou du ciel du CAEA porte le n° 130 et a été construit en 1935.
La restauration du moteur Aubier-Dunne qui nous a été donné par un visiteur a permis de remplacer le moteur "raté de fonderie" qui servait de support à l'hélice.
Ce travail a été rendu possible grâce à l'aide du GPPA qui nous a passé des pièces pour le compléter, en contrepartie nous leur refaisons un autre Aubier-Dunne.
Il a été intégré à l'exposition " Bordeaux années 20-30 " du 24 octobre 2008 au 15 mars 2009 au Musée d'Aquitaine, 20 cours Pasteur Bordeaux.

Visible dans le hangar

Restauration
Les Images des travaux et déplacements

Mauboussin M 121P

France  Biplace de tourisme

Vue d'artiste

 

Caractéristiques
Envergure 11,75 m 3 vues
Longueur 6,78 m
Hauteur 2,50 m
Surface alaire 14,78 m2
Masse à vide 347 kg
Masse max. 610 kg
Nombre de places 1+1
Vitesse max. 202 km/h
Plafond d'utilisation 7100 m
Moteur 1 Pobjoy de 75 cv

Restauration
Les Images au début de la restauration.
Point sur les travaux début juillet 2000
Photos du Moteur Pobjoy
Avancement de la restauration au 10 avril 2001
Essais Magic sur Stampe
par Jacques Tresset.

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Pour en revenir à cette affaire, il ne s'agit effectivement que d'un petit canular sans prétention. En fait, il s'agissait de faire une photo insolite qui a d'ailleurs été utilisée par la suite comme carte de voeux pour le CEV Cazaux.
A cette époque nous étions en plein développement du Magic 1 et les tirs sur avions de servitude (Météor, Mirage III) se succédaient à un rythme important. Nous étions également en phase d'adaptation de ce missile sur le Mirage F1 et le F-8E FN Crusader. Tous les tirs étaient effectués en mer au Centre d'Essais des Landes soit sans cible s'il s'agissait d'une maquette d'étude de séparation (donc sans autodirecteur) soit contre cible CT20 s'il s'agissait d'un tir guidé. Tout cela pour vous dire que les essais du Magic tenaient une grande place dans l'activité du CEV.
Magic sous Stampe
Un beau jour, mon équipe avec les techniciens de Matra et les pilotes d'essais du service PN ont eu l'idée de faire cette photo, alors que le dit Stampe était en révison au CEV (l'aéro club du CEV n'était pas installé sur la base de Cazaux mais sur le terrain voisin d'Arcachon Villemarie).
Comme vous pouvez le voir sur la photo il n'y a pas de lance- missile et le missile (qui pèse quand même 90 kg) n'est suspendu que par une lanière passant dans l'anneau d'amarrage du Stampe situé sous la voilure (visible derrière les plans canard du missile) et repose au sol par l'arrière sur ses voilures principales. Vous imaginez bien qu'un tel missile ne pouvait pas être emporté et encore moins tiré sur un tel avion. Le pauvre Stampe aurait été votalilisé sous l'effet du jet de 4 tonnes de poussée...

CERVA CE.43 Guépard

France  Formation / Tourisme

 

dans le HM2
Peu après son arrivée

 

L'actualité du Guépard
L'atelier Wassmer CE 43 Guépard
Quel rapport peut-il exister entre une baguette de pain et un guépard ? Hé bien, sans la rencontre au sortir d’une boulangerie d... lire la suite
Publié le 19-01-2011 
Avancement du chantier Guépard
Les travaux avancent sur le CE.... lire la suite
Publié le 22-10-2010 

   - Historique et description

En 1971, Siren SA et Wassmer Aviation SA fondent à parts égales le Groupement d'Intérêt Economique CERVA (Consortium Européen de Réalisation et de Ventes d'Avions) pour fabriquer et vendre une version entièrement métallique du Wassmer Super 4/21 sous la désignation CE.43 Guépard, développé sur un marché d'Etat pour le Centre d'Essais en Vol et le Service de la Formation Aéronautique.

Comme le Wassmer 4/21, le Guépard est équipé d'un moteur Lycoming IO-540-C4B5, 6 cylindres à plat, de 250 chevaux activant une hélice Hartzell bipale à pas variable. C'est un 4/5 sièges avec possibilité optionelle d'un sixième siège. La capacité totale en carburant est de 220 litres qui peut être portée à 440 litres avec des réservoirs auxiliaires.
Il dispose d'une aile basse cantilever sans flèche, équipée de volets à commande électrique, le train est tricycle rétractable. Le poste de pilotage peut recevoir un équipement IFR complet.
Une version de transport de fret léger a été envisagée par retrait des sièges passagers.

Le prototype (F-WSNJ) a volé pour la première fois le 18 mai 1971 aux mains de Jean-Claude Gombert. Alors qu'il totalisait à peine 10 heures de vol il est arrivé au Bourget le 27 mai pour être présenté au 24ème salon de l'aéronautique. Le 23 août suivant il entre au CEV d'Istres pour y effectuer son programme d'essais en vol.
Un second prototype a été livré au Service de la Formation Aéronautique. Une autre cellule a été utilisée pour des essais statiques au CEAT de Toulouse.

   - Production

La production des 43 exemplaires a commencé aussitôt après la certification obtenue le 1er juin 1972 et s'est terminée en 1976.
La cellule était fabriquée par la SIREN à Argenton-sur-Creuse (Indre), l'installation des équipements, l'assemblage final et les essais en vols réalisés par Wassmer à Issoire (Puy-de-Dome).
Deux autres versions ont été étudiées, le CE.44 Cougar avec un moteur Continental Tiara de 285 cv et le CE.45 Léopard avec un Lycoming TIO-540 de 310 cv.

Caractéristiques
Envergure 10,00 m
Longueur 7,85 m
Hauteur 2,90 m
Masse à vide 890 kg
Masse max. au décollage 1.460 kg
Vitesse max. 320 km/h
Vitesse de croisière 280 km/h
Plafond 5.300 m
Rayon d'action avec 440 litres 2.900 km
Moteur 1 Lycoming IO-540-C4B5 de 250 cv
L'appareil du CAEA
Plaque Le Guépard n°449 a été mis en oeuvre par le CEV sous l'immatriculation F-ZJLF.
Il a rejoint le hangar du CAEA le 6 juin 2008.

Visible dans le hangar.

   - Sources documentaires

Jane's all the aircraft 1977-78
Air&Cosmos n° 390 - 29 mai 1971
Air&Cosmos n° 391 - 5 juin 1971
Air&Cosmos n° 402 - 25 septembre 1971

Stampe SV4-C

France  Avion d'entrainement, tourisme, voltige
en état de vol

 

SPIE Sud-Ouest soutient la remise en vol du Stampe

- Historique

La naissance du SV4 remonte à 1937 quand Elsa Leysen, une des anciennes élèves de l'école de pilotage de Jean Stampe, prend contact avec ce dernier : elle désire un appareil de voltige léger supérieur au Tiger Moth et au Bücker Jungmann. En 1933, Stampe et Vertongen avaient construit le S-IV (devenu par la suite SV4). L'appareil était constitué d'un plan supérieur en flèche positive décalé vers l'avant et d'une aile inférieure, droite, dotée d'ailerons. Le prototype décolla de Deurne en 1933. Partant du SV4, l'ingénieur Demidoff dessina un nouvel appareil caractérisé par un fuselage plus court, un nouvel empennage et une envergure réduite. La voilure, à profil plus mince, était équipée de saumon d'aile, les deux plans recevant des ailerons, malgré leur dissymétrie. Le prototype désigné SV4-B, vola en septembre 1937, équipé du moteur Gipsy Major I inversé de 130 ch. Déclaré vainqueur du concours pour les avions école de base de l'Armée Belge, il fut enfin livré à sa propriétaire, Elsa Leysen, avec laquelle il participa à de nombreux meetings et se révéla nettement supérieur au Tiger Moth et au Jungmann. Désirant encore parfaire cet avion, Stampe construisit un deuxième et troisième SV4-B améliorés notamment par l'adoption d'ailes symétriques à flèche positive. Ce nouveau SV4-B fut présenté en France en 1939 et y fit sensation. La France passa alors une commande de 600 exemplaires dont la construction devait être assurée par la société Farman qui fit l'acquisition de la licence. Du fait de la guerre, seuls 20 SV4-B furent achevés à Deurne. 11 appareils étaient alors en cours de montage dans l'usine Farman de Turenne. Au lendemain des hostilités, c'est sur le SV4 que se porta le choix des autorités françaises pour relancer les écoles de pilotage de l'armée de l'air. Équipé du moteur Renault 4Pei de 140 ch, alors disponible, le 1er SV4-C prit l'air en janvier 1946. Le ministère de l'air passa alors commande de 700 appareils. La saga du Stampe en France venait juste de commencer.
Durant sa carrière l'appareil sera doté de divers propulseurs depuis les Renault 4P, 4P-03, 4P-05 pour la voltige(SV4-A), 4P-106 à injection, au Mathis de 7 cylindres en étoile de 175 ch , qui équipa le prototype SV4-D de la patrouille d'Etampes.

   - Production

La SNCAN assure la production à Sartrouville de la 1ère commande de 700 appareils. Le 1er sort le 4 juin 1945 équipé d'un moteur Gipsy. Le 1er SV4-C de série à moteur Renault sort en octobre et porte le n° 13. La série arrive à son terme en avril 1948 avec le n°701.
Le besoin en appareil de ce type se faisant encore ressentir, l'Etat décide de confier la construction de 150 SV4-C supplémentaires à l'AIA de Maison Blanche à Alger. Le 1er exemplaire de série sort en mai 1947 et le dernier en 1950. Ces appareils, numérotés de 1001 à 1150, seront réputés pour la qualité de leur fabrication.

Devant le H2

   - Carrière

Le Stampe a eu de nombreux utilisateurs au cours de sa carrière :
L'Armée de L'Air, qui en utilisa au moins 243, au sein des différentes Base Ecole de 1946 à 1955. L'École des Officiers de Réserve de Caen, quant à elle, s'en séparera en 1960.
L'Aéronavale fait voler au moins 123 SV4-C entre 1949 et 1966 au sein des Escadrilles Écoles 50S et 51S des Bases Navale de Lanvéoc et de Khouribga (Maroc), ainsi qu'à l'Escadrille de Liaison et de Servitudes 3S de la Base Aéronavale de Cuers.
L'Aviation Légère de l'Armée de Terre (30 appareils) de 1953 à 1960, notamment au Base de Carcassonne, Mayence, Nancy et Dax.
La Patrouille d'Etampes, de 1947 à 1953.
Les CEV, 50 appareils, pour l'entraînement des personnels de l'état. Ils y subiront quelques modifications à des fins expérimentales, comme l'essai du missile Matra "Magic " en 1974 à Cazaux.
Le Service de l'Aviation Légère et Sportive, de 1948 à 1969 (100 appareils).
Ainsi que les aéroclubs et particuliers pour lesquels il vole encore, pour le plaisir des pilotes et... des spectateurs.

Caractéristiques
Envergure 8,40 m 3 view
Longueur 6,90 m
Hauteur 2,77 m
Surface alaire 19 m2
Masse à vide 500 kg
Masse max. 780 kg
Vitesse max. 200 km/h
Vitesse ascensionnelle 4,5 m/s
Plafond 5000 m
Facteurs de charge +6G/-4G
Moteur Renault 4P de 140 ch.
Le 4P-05 avait un carburateur à membrane, une pompe à huile inversée et circuit de dégazage pour le vol dos.

 

L'appareil du CAEA

numéro de série Le Stampe du CAEA a une vie mouvementée. Il sort d'usine en septembre 1946, porte le n° 322 et né CON (F-BCON). Il est du type SV4-C (moteur 4-PO3) et commence sa carrière au SALS de Sens jusqu'en 1955 où il sera radié. En 1964 il est équipé d'un 4-PO5 et se transforme en SV4-A mais son CDN n'est pas accordé. En septembre 1965, il est majeur, devient BON (F-BBON) et vole à l'aéroclub Snecma Sports à Romilly jusqu'en 1970. Puis il changera encore 5 fois de propriétaire. Ses derniers co-propriétaires font un travail considérable de restauration, il reçoit un nouveau moteur 4Pei (redevient SV4-C).
Il rejoint notre collection en vol en mars 1999, à Andernos. La cellule a alors 2210 heures de vol.

Le 7 février 2007 il rejoint le hangar de l'Aéro-Club de Bordeaux, que nous remercions, sur le terrain de Bordeaux-Léognan-Saucats où il est remonté et mis au point en vue de son nouvel envol qui a eu lieu le 1er mai 2007.

Le 22 août 2007, le moteur Renault a connu une panne grave alors qu'il comptait 730 heures de vols depuis fabrication. La tête de bielle du cylindre N°3 a cédé en vol, la bielle a martelé le piston qui a fait éclater la culasse et ovaliser le cylindre. Un morceau de la bielle a été projeté entre le carter et l'arbre à cames déchirant le carter sur plusieurs centimètres.

Début mai 2009, il revolait à nouveau et était présenté aux meetings de Saucats et Cazaux.

Un historique complet réalisé par Bruno Vielle


Visible à l'aérodrome de Bordeaux-Léognan-Saucats (LFCS)

 

 Voir également le sujet sur le forum Tarmacs.

Le Stampe en vol